Difficile de ne pas céder à la tentation de montrer que malgré les révolutions industrielles, l'urbanisme galopant des Trente Glorieuses succédant à la reconstruction, une petite place est laissée au végétal dans l'univers minéral de nos villes... Une petite place que l'on pourrait aisément qualifiée d'infime... et même sans être "écologiste", l'on peut aisément en apprécier la beauté par sa rareté..
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